
Une famille française terrassée par le destin de leur fille Inès, âgée de 14 ans seulement, une adolescente en état végétatif et souffrant d’une maladie neuromusculaire auto-immune et qui, selon les médecins de l’hôpital de Nancy, n’aura plus jamais la capacité d’établir le moindre contact avec ses proches, devrait se plier à une décision appuyée par une décision judiciaire émanant du Tribunal administratif exigeant des parents d’accepter de laisser ‘mourir’ leur enfant.
Mais les parents de l’enfant veulent encore y croire, et refusent d’admettre que leur fille soit perdue à jamais, sachant que les médecins avaient jugé son cas ‘sans espoir’ et avaient lancé une procédure visant à l’arrêt des traitements, et ce, conformément à la loi de 2016 sur la fin de vie.
A noter que la mère insiste encore sur le fait que la décision des médecins serait « un crime », selon ses convictions religieuses, néanmoins, la loi c’est la loi, lorsqu’il s’agit de ‘vie ou de mort’, et pour les parent ce combat est voué à l’échec.
Il ne s’agit pas d’un cas d’euthanasie !